UN AUTRE REGARD SUR LE SIDA…SANS VIRUS !
novembre 21, 2013 Un commentaire
Les incohérences du test VIH
Les médecins utilisent ce test pour informer leurs clients qu’ils ont été infectés par le (prétendu) virus du sida, et qu’il menace leur vie. En réalité, ce test ne dépiste pas le virus, il identifie des anticorps.
La présence dʼanticorps est universellement utilisée pour signifier que le système immunitaire a répondu correctement à une infection et qu’il lʼa surmontée (c’est la base de la théorie de lʼimmunité vaccinale). Il est donc irrationnel d’affirmer en cas de test positif, qu’une personne soit victime dʼune maladie infectieuse incurable et mortelle.
Le test de dépistage du VIH nʼest pas spécifique. De nombreuses réactions croisées peuvent provoquer un test positif sans la présence du VIH : rhumatisme articulaire aigu, herpès, vaccination récente contre le tétanos ou contre la grippe, hépatite, tuberculose, malaria, problèmes rénaux, grossesse, ou rôle passif lors d’une relation sexuelle anale. Le stress oxydatif ou une inflammation chronique peuvent aussi faire réagir le test. Plus de soixante réactions croisées peuvent faire réagir positivement un test de dépistage du VIH. (ww.sidasante.com/science/scifalse.htm)
On lit d’ailleurs sur les fiches de recommandations dʼutilisation des tests : « Il n’existe aujourd’hui aucun standard reconnu établissant la présence ou lʼabsence dʼanticorps contre les virus du sida 1 ou 2 dans le sang humain »…ou : « Nʼutilisez pas ce test comme seule base pour un diagnostic dʼinfection par le virus du sida ».
Les critères d’interprétation du test diffèrent d’un pays à l’autre. Une personne testée positive sera déclarée négative en changeant de laboratoire ou de pays.
Les doutes sur la cause virale du sida
Le sida n’est pas une maladie, mais un « Syndrome de Déficience Immunitaire Acquise » dont les causes sont multiples. En Afrique, c’est un nouveau nom pour la misère, tandis que dans le reste du monde, il est surtout causé par des agressions toxiques contre l’organisme.
Le virus du sida nʼa jamais été photographié au microscope électronique dans le sang dʼune personne séropositive, pas même chez un patient présentant une charge virale élevée. Lʼutilisation de la PCR pour identifier et quantifier le virus du sida sans lʼisoler a été mise en doute par lʼinventeur de la PCR lui-même (Kary Mullis) et un grand nombre de spécialistes. Des séquences dʼacides aminés provenant de rétrovirus humains endogènes circulent à tout moment dans le sang suite à la mort des cellules. De telles séquences sont interprétées étant comme le VIH.
Les traitements par trithérapies ?
La thérapie antirétrovirale (TAR) peut êtreefficace en cas de graves infections fongiques ou bactériennes, mais son utilisation à long terme cause de nombreux problèmes : anémie, fractures dues à lʼostéoporose, insuffisance hépatique et rénale, troubles cardiovasculaires et neurologiques.
La trithérapie est moins dangereuse que l’AZT dont les doses extrêmement élevées sont pour beaucoup de scientifiques, l’une des principales causes de mortalité des séropositifs dans les années 80 et 90.
De nombreuses personnes ayant fait un test positif n’ont aucun problème de santé si leur mode de vie est sain : une attitude holistique, une nourriture appropriée, un travail sur les émotions sont aussi des facteurs à prendre en compte. D’autre part la peur et la culpabilité jouent souvent un rôle déterminant dans la santé, notamment en apprenant que l’on est victime d’une maladie incurable.
Le sida et les lois
Des centaines de personnes partout dans le monde sont emprisonnées, accusées d’avoir contaminé un ou plusieurs partenaires avec le VIH. Un collectif d’avocats américains en a déjà fait sortir cinquante trois de prison (septembre 2013) sur la base de la non spécificité du test expliquée ci-dessus (www.omsj.org).
La loi suisse sur les épidémies prévoit des amendes pour les malades ou « présumés malades » qui refuseraient le traitement officiel. Heureusement, nous n’avons pas connaissance en Suisse de cas d’enfants retirés de la garde de leurs parents pour ce motif.
Dans d’autres pays dont la France, les enfants peuvent leur être enlevés par les autorités pour recevoir des traitements forcés. Aux Etats-Unis, le petit Rico a été littéralement kidnappé par la police en février 2013 pour recevoir une trithérapie, car sa mère était séropositive et en parfaite santé. Il a néanmoins été rendu à sa famille suite à une vague d’indignation citoyenne, plusieurs mois de procédures et grâce au travail de la journaliste Celia Farber. Dans le film « House of numbers », la grand-mère de Rico témoigne que sa fille, Lindsay, a été adoptée en Roumanie en 1990. Testée négative dans son pays, elle a ensuite été re-testée positive aux Etats-Unis, comme treize autres enfants roumains. Ils furent tous placés sous AZT. Devant les lourds effets secondaires de la thérapie, les parents de Lindsay décidèrent d’interrompre le traitement. Vingt ans plus tard, Lindsay, la mère de Rico, est la seule survivante de ces treize enfants.
Le documentaire « Je ne me tairai pas » d’Anne Sono Blumenthal montre la bataille difficile de mamans séropositives face aux autorités médicales et judiciaires en Allemagne, en Autriche, en Norvège, aux Etats-Unis et en Russie. (www.iwontgoquietly.com/fr)
Contacts : sylviemalek98@hotmail.com ou francabertu@orange.fr
Références : www.sidasante.com et www.rethinkingaids.com